Le slowpreneuriat est la meilleure façon d’entreprendre selon moi 😎.

Pourquoi ?

Parce que c’est celle qui permet le mieux de prendre soin de sa santé 💚.

Avoir une entreprise bienveillante 🥰 qui me permet de m’épanouir à travers ma mission de vie, avoir un impact positif dans le monde 🙏, sans m’épuiser et en profitant de la vie.

C’est tout ce à quoi j’aspire et c’est ce que je suis en train de réaliser ✨.

Qu’est-ce que le slowpreneuriat ? Ou plutôt qu’est-ce que ce N’EST PAS ?

Voici 6 idées reçues sur le slowpreneuriat :

1- Le slowpreneuriat c’est travailler moins

Ce n’est pas tout à fait vrai : un.e slowpreneur.e n’est pas quelqu’un qui travaille forcément moins, mais plutôt quelqu’un qui adopte une approche plus réfléchie et intentionnelle de son travail, qui est plus efficace.

Quand on est slowpreneur.e on apprend même à être efficient, on utilise notre temps de manière judicieuse pour atteindre nos objectifs.

Alors oui quand on est plus efficace au final on peut se permettre de travailler moins en nombre d’heures, mais ça ne veut pas dire qu’on travaille moins en terme de résultat.

La qualité de notre travail reste la même, voire souvent meilleure !

2- Une slowpreneure n’est pas disciplinée

« Bah ouais quoi, si tu respectes ton rythme ça veut dire que tu ne mets pas de réveil le matin … »

Euh … non !

Toutes les slowpreneures n’adoptent pas le même rythme et c’est justement ça la magie, c’est que tout le monde peut devenir slowpreneure !

Personnellement, avec mes 2 enfants, je ne pourrais pas ne pas mettre de réveil le matin.

Le slowpreneuriat est totalement compatible avec le fait d’être maman, et je dirais même que toutes les mompreneures devraient s’y intéresser.

3- Le slowpreneuriat c’est travailler quand on en a envie

Encore une fois, ce n’est pas tout à fait vrai.

Quand tu es slowpreneure tu es davantage dans le moment présent, tu respectes ton rythme, tu écoutes ton corps et tes besoins.

Oui parfois tu vas prendre la décision de ralentir ou de faire de plus grandes pauses pour ne pas t’épuiser.

Ça ne veut pas forcément dire que tu travailles quand ça te tente.

Pour réussir en tant qu’entrepreneure, on peut être en business à temps partiel, mais pas à temps perdu 😉.

4- On ne peut pas être slowpreneure et ambitieuse

C’est tellement faux !

L’ambition n’a rien à voir là-dedans.

Tu peux te lancer en entrepreneuriat sur une autre route, plus saine et plus sereine, plus respectueuse de ta santé, de ton bien-être et des valeurs que tu veux transmettre à tes enfants.

Ça peut être plus long pour atteindre tes résultats mais, si au final tu y gagnes plus à long terme, n’est-ce pas mieux ?

Veux-tu être une tortue qui finit par gagner ou un lièvre qui s’épuise et abandonne à mi-chemin ?

L’entrepreneuriat ce n’est pas un sprint mais un marathon …

5- Le slowpreneuriat c’est un concept fermé

Au contraire ! Ce n’est pas une attitude à avoir, ni un moule dans lequel il faut rentrer.

D’ailleurs, personnellement, je n’ai jamais réussi à entrer dans aucun moule.

Je suis unique et je ne chercherai JAMAIS à « fitter » avec quoi ou qui que ce soit.

Il y a presqu’autant de sortes de slowpreneuriat que de slowpreneur.e.s … bon j’exagère mais c’est un peu ça quand même.

On prend tous le temps de vivre, de ralentir, de prendre conscience de notre énergie.

On se reconnecte à soi, aux autres, à la nature … ensuite on adapte notre vision et nos habitudes à notre quotidien, selon notre réalité.

6- Le slowpreneuriat est « seulement » une autre façon de travailler

Erreur.

Pour moi c’est un mode de vie.

D’ailleurs toutes les habitudes que je prends en lien avec ma façon de gérer mon entreprise sont des habitudes saines que je recommande à TOUT LE MONDE, entrepreneure ou non, maman ou non.

Si le slowpreneuriat t’intéresse et que tu veux optimiser ton organisation pour te permettre de ralentir et mieux respecter ton rythme, réserve un café virtuel avec moi pour qu’on regarde quel plan de match on peut mettre en place ensemble !